Professionnel (homme ou femme) exerçant une fonction de traducteur spécialisé dans des organisations, grandes entreprises, agences, ministères et, ou au sein d’instances internationales. Capable d’un niveau expertise dans la compréhension et traduction de textes - souvent d’un champs ou d’une discipline particulièrement ciblé- il ou elle sera capable dans des délais précis de produire des textes qui pourront prendre un caractère officiel, contractuel ou réglementaire. Il est possible d’observer que dans la pratique, la connaissance de l’historique des relations et des échanges permet aussi de maintenir ce degré élevé d’expertise. D’un point de vue étude, posséder un master en traduction constitue en fait la qualification requise lorsque l’on prétend exercer ce métier au niveau défini ici. Quelques années de pratique et d’expérience accompagnées de séminaires et de travaux d’études peuvent permettre à un traducteur titulaire d’une licence ou d’une maîtrise de compenser l'absence de master pro. En parallèle, porter une grande attention aux travaux de recherche en cours et suivre la sortie des ouvrages qui traitent des thèmes ou domaines de spécialisation.
De nombreuses universités proposent des programmes de formation préparant à cette fonction de traduction hautement spécialisée. (Paris Ouest Nanterre, Grenoble, université de Provence …)
Au niveau des instances et structures européennes – qui rassemblent aujourd’hui 27 pays avec au total plus de 20 langues différentes – sont à l’origine de besoins importants de traducteurs : chaque pays exigeant de recevoir les textes communautaires dans sa langue. De leur côté, les entreprises qui travaillent au niveau européen se trouvent devant les mêmes obligations.
Des perspectives encourageantes pour celles et ceux qui sont motivés (es) par cette orientation professionnelle.
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